À mes parents, à mes ancêtres.
À ma mère, ô Terre de Picardie !
À tes arbres et à tes prairies.
À propos de Charles DELHAES :
Le peintre de renommée internationale, Charles Delhaes, est né à Liège en 1948. En 1994, il est retourné vivre dans sa ville natale, après avoir séjourné au Portugal, au Canada, à New York et à Paris où il a habité une quinzaine d’années.
Voici plus de quarante ans que Charles Delhaes vit exclusivement de sa peinture, y consacrant l’intégralité de son temps. Il vend directement ses œuvres à des collectionneurs privés passionnés. Chaque année en automne, il organise, dans sa maison-galerie à Liège, une exposition, au cours de laquelle il présente ses dernières œuvres, inspirées d’une thématique particulière.
Au fil du temps, sans renier l’abstraction, sa recherche s’est orientée vers la figuration, en relation permanente avec l’esprit des Maîtres Anciens.
Charles Delhaes s’est aussi engagé dans un « dialogue » pictural avec Francisco de Zurbarán, peintre du siècle d’or espagnol : s’inspirant des célèbres Saintes, il porte depuis des années un projet monumental qui renouvelle l’art contemporain, tant dans l’inspiration que dans les techniques.
La muse du peintre, qui est aussi son épouse, porte le doux prénom d’Ayana.
À propos de Rose-Marie FRANÇOIS :
Auteure d’une bonne trentaine de livres, poèmes, récits, romans, essais, spectacles, ses œuvres sont publiées en divers pays et traduites dans une douzaine de langues. Marquée par la guerre 1940-1945, p.ex. La Cendre (Jacques Antoine 1985), L’Aubaine (Luc Pire 2009, La Renaissance du livre), L’Adieu (Écrits des Forges 2011), Lès Chènes (micRomania, 2013). L’interdiction de parler le picard au profit du seul français induit dès l’enfance une passion pour les langues étrangères. Formée au théâtre, elle donne sur scène ses poèmes et ceux qu’elle traduit. Poésie et peinture sont pour elle inséparables, voir p.ex. L’Âlion dans l’atelier, in : L’Adieu (2011). Longtemps membre du jury international du Premio Napoli. Passionnée par les langues à moindre diffusion, on lui doit la première anthologie bilingue (letton-français) de poésie lettone : Pļavās kailām kājām, Pieds nus dans l’herbe (Amay 2002). Germaniste, maître de conférences à l’ULg, elle a dirigé des séminaires de traduction littéraire dans les universités de Liège (Belgique), de Lund (Suède), de Lettonie (à Riga), dont elle est dr. honoris causa, et au Centre Européen de Traduction Littéraire (à Bruxelles).
www.rosemariefrancois.eu
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